«Quand mes mains entrent en contact avec mon élève, c’est comme si elles étaient démunies d’os. Elles sont des morceaux de matériau qui prennent la forme de la structure sous eux. Bien que les mains ne fassent rien, elles accomplissent une double fonction … Parce que ces mains n’ont aucune idée préconçue de ce qu’elles ressentent, elles sont capables de découvrir librement l’étudiant à cet instant, dans le temps et l’espace … Je dois m’isoler et permettre à tout ce que je sais sur la Technique Alexander de s’écouler à travers mon corps, et travers l’étudiant via mes mains. »
Judith Leibowitz : « Oser être faux » (édition K.Miranda 2007).