« …si l’on intervient au bon moment, ce qui se trouve ainsi engagé, au sein du procès des choses, s’inscrivant alors dans un réseau de facteurs favorables, se voit porté de lui-même à se déployer, d’une façon naturelle, sans qu’on ait plus dès lors à vouloir, à risquer ou à peiner, ou même seulement à se dépenser. »
François Jullien (Du temps) – extrait cité par Denis Grozdanovitch dans « l’art difficile de ne presque rien faire », Denoël, 2009, page 167 –