Désirer et accepter

Dans notre vie,  des choses fonctionnent, d’autres pas.

Faisons l’hypothèse que toutes nos activités, ou la plupart, sont orientées vers la recherche de notre bonheur, et que notre bonheur tend à se réaliser lorsqu’un de nos désirs est satisfait.

Lorsque quelque chose ne fonctionne pas, je peux me sentir frustré, désemparé, et vouloir que tout aille « bien ». Cette tension mentale va se répercuter physiquement, et je vais probablement serrer mes épaules l’une contre l’autre ; mon dos va se rétrécir. Si j’accepte la situation, j’évite le tension mentale et je peux permettre à mon dos de s’élargir. Je reprends contact avec mon fonctionnement naturel ; l’usage de moi-même devient plus  juste.

De même, lorsque je désire quelque chose, je peux penser à tous les obstacles qui s’opposent à la réalisation de mon souhait. Cette pensée limitante peut se répercuter physiquement et m’inviter à l’avachissement, l’effondrement. Ma colonne vertébrale va probablement se raccourcir. Si je m’offre la liberté de penser que mon désir peut être accessible, et si je fais confiance à ma compétence à accepter la situation dans le cas contraire, je permets à ma colonne de s’allonger, et je me recentre avec un usage de moi-même correct.

En d’autres termes, je peux associer désirer et allonger, accepter et élargir.

 

Printemps

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