Face à une situation perçue comme désagréable, combien de fois par jour n’avons-nous pas prononcé ce mot, « M…. », accompagné d’un « ah.. » guttural et de grimaces ; nous pouvons aussi y avoir pensé, sans le dire. C’est souvent une manière assez efficace de se fabriquer un ensemble de tensions, physiques comme mentales, en contractant des muscles qui n’ont rien à voir avec ce qui est en train de se passer et en substituant à notre capacité de raisonner un jugement tout prêt sur les évènements. La prochaine fois que vous serez tenté par ce mot célèbre, vous pouvez vous dire « stop » ; et éviter de le proférer (éviter d’y penser est assez difficile tant notre cerveau travaille vite). Et puis revenir à vous même, penser à vous détendre (cela peut vous paraître difficile, mais c’est possible ; il est tellement simple d’éviter de faire des choses inutiles). Vous risquez alors d’être surpris de la quantité d’idées constructives auxquelles vous aller penser pour résoudre la situation.