Il est parfois surprenant de commencer une leçon de Technique Alexander en invitant l’élève à rester quelques instants immobile, (assis ou debout en fonction de son état de fatigue) et à prendre contact avec son environnement :
- quel est le contenu de son champ visuel, les formes, précises ou imprécises, les couleurs, les lumières…
- quels sont les sons qu’il perçoit
- quelle sensation a-t-il du contact de l’air ambiant sur sa peau
- quel est le contact de ses pieds avec le sol
- est-ce qu’il perçoit des zones de tensions dans son corps
- etc, etc
Cette simple auto-observation peut être l’occasion de se détendre sans rien faire, et lorsque nous arrivons à la directive « je laisse mon cou libre », le cou peut se révéler déjà assez relâché, comme par enchantement !